On peut avoir la fibre de l’entrepreneuriat, parfaitement dominer son domaine d’activité et ne rien entendre aux avantages du marché boursier, assure Jean-Paul Rosette, président de FleXos, spécialiste de la sécurité informatique cotée sur le Marché Libre d'Euronext Brussels. «Autant la bourse attire, autant elle fait peur! Pour certains, c’est un rêve, mais inabordable parce que réservé à des entités d’une certaine taille; pour d’autres, la démarche est illusoire parce que trop contraignante.»
L’idée? Créer ce levier qui empêche nombre de petites entreprises d’atteindre, précisément, la taille critique. C’est l’ambition de Capital People, un fond visant à doper la progression de sociétés belges, luxembourgeoises et françaises principalement non cotées, mais à fort potentiel dans des secteurs technologiques prometteurs. Comment? Par échange d’actions. Une entreprise valorisée 1 million d’EUR, par exemple, peut échanger 10 à 15% de son capital en actions Capital People et bénéficier d’une série d’avantages inhérents à l’expertise des fondateurs du fond, mais aussi à l’effet de levier attendu par l’introduction de Capital People sur Alternext Paris et Bruxelles.
«Dès que le total des participations aura atteint un montant de 10 millions d’EUR, même si le minimum technique est de 2,5 millions d’EUR, nous comptons introduire Capital People en bourse en réalisant une levée en cash en misant autant sur Paris que sur Bruxelles», enchaîne Jean-Paul Rosette.
De là, une série d’avantages. En effet, tout en conservant leur autonomie, les propriétaires, fondateurs et actionnaires des entreprises partenaires pourront notamment améliorer la valorisation (par rapport à une simple valorisation comptable), tirer bénéfice d’une cotation indirecte sur la bourse via le holding Capital People et bénéficier d’une plus grande visibilité tant vis-à-vis du public, des fournisseurs, des investisseurs que des banques ou des organes publics. Cette participation par échange d’actions se traduira aussi par une diversification de leur patrimoine, une aide à une éventuelle introduction en bourse via un réseau de spécialistes à prix réduit, voire un éventuel apport de cash suivant les performances de l’entreprise ou la détention de titres plus «liquides» avec une cotation continue et non au fixing.
Bien que déjà mis en œuvre par un avocat spécialiste de la bourse, le concept est relativement unique. Dans un deuxième temps, Jean-Paul Rosette tentera alors d’attirer des investisseurs de plus gros calibre, en particulier au Moyen-Orient où FleXos est déjà active, mais aussi en Russie et en Asie.
L’idée? Créer ce levier qui empêche nombre de petites entreprises d’atteindre, précisément, la taille critique. C’est l’ambition de Capital People, un fond visant à doper la progression de sociétés belges, luxembourgeoises et françaises principalement non cotées, mais à fort potentiel dans des secteurs technologiques prometteurs. Comment? Par échange d’actions. Une entreprise valorisée 1 million d’EUR, par exemple, peut échanger 10 à 15% de son capital en actions Capital People et bénéficier d’une série d’avantages inhérents à l’expertise des fondateurs du fond, mais aussi à l’effet de levier attendu par l’introduction de Capital People sur Alternext Paris et Bruxelles.
«Dès que le total des participations aura atteint un montant de 10 millions d’EUR, même si le minimum technique est de 2,5 millions d’EUR, nous comptons introduire Capital People en bourse en réalisant une levée en cash en misant autant sur Paris que sur Bruxelles», enchaîne Jean-Paul Rosette.
De là, une série d’avantages. En effet, tout en conservant leur autonomie, les propriétaires, fondateurs et actionnaires des entreprises partenaires pourront notamment améliorer la valorisation (par rapport à une simple valorisation comptable), tirer bénéfice d’une cotation indirecte sur la bourse via le holding Capital People et bénéficier d’une plus grande visibilité tant vis-à-vis du public, des fournisseurs, des investisseurs que des banques ou des organes publics. Cette participation par échange d’actions se traduira aussi par une diversification de leur patrimoine, une aide à une éventuelle introduction en bourse via un réseau de spécialistes à prix réduit, voire un éventuel apport de cash suivant les performances de l’entreprise ou la détention de titres plus «liquides» avec une cotation continue et non au fixing.
Bien que déjà mis en œuvre par un avocat spécialiste de la bourse, le concept est relativement unique. Dans un deuxième temps, Jean-Paul Rosette tentera alors d’attirer des investisseurs de plus gros calibre, en particulier au Moyen-Orient où FleXos est déjà active, mais aussi en Russie et en Asie.
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